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SOUTIEN-GORGE GRANDE TAILLE :
MES ASTUCES LINGERIE
Le saviez-vous ? Les seins sont dépourvus de muscles. Pour lutter contre la pesanteur, il faut donc en prendre le plus grand soin et porter un soutien-gorge qui maintien parfaitement la poitrine. C'est d'autant plus le cas lorsque la poitrine est lourde et qu'elle risque de s'affaisser plus rapidement ou de vous provoquer des douleurs cervicales.
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QUEL SOUTIEN-GORGE PORTER QUAND ON A UNE PETITE POITRINE ?
Lorsque l'on a une petite poitrine, il est possible de repulper son décolleté, grâce à différentes formes de soutien-gorge !
Le triangle en dentelle pour celles qui assument sa petite poitrine.
La forme triangle recouvre ainsi la totalité du sein ! La pince sous le bonnet donne un joli galbe sans amplifier le volume naturel de la poitrine, grâce à l’absence d’armature. Le triangle entièrement en dentelle est particulièrement adapté aux femmes qui assument complètement d’avoir une poitrine menue car il habille délicatement la poitrine et n’amplifie pas le volume des seins. Néanmoins, il offre beaucoup de sensualité et de féminité ainsi qu’un léger maintien. Il est aussi conseillé quand on a une silhouette totalement proportionnée entre le haut et le bas.
Le push up pour booster sa petite poitrine
Le push up ramène la poitrine vers le centre afin de donner du volume mais surtout de repulper la poitrine !
Chez Simone Pérèle, il existe 2 types de push up :
- Le push up avec petit cookie ergonomique
Dans la ligne Délice, se trouve une petite poche à l’intérieur dans laquelle on découvre un petit cookie. Complètement ergonomique, il épouse la forme de la poitrine et donne plus de galbe au décolleté. Même sur un 90 A, cette forme push up ramène la poitrine vers l’avant pour offrir un très joli galbe que l’on aperçoit encore plus de profil.
Petite astuce : Il faut faire attention au réglage du dos afin que celui-ci soit situé dans le prolongement de l’armature ! Un dos qui remonte est une poitrine qui tombe ! S’il est correctement positionné à l’horizontale, la poitrine se relève forcément !
Pour accentuer d’avantage l’effet push up, les bretelles peuvent être réglées également. Ici, le soutien-gorge de la ligne Délice possède une astuce nommée le petit bac. Ce crochet rapproche les bretelles pour ajouter de l’effet !
- Le push up avec cookie flottant
Il est possible donner un petit coup de pouce à la nature au niveau du décolleté mais de façon moins amplifiée que précédemment. Pour cela, la formule push up de la ligne Céleste possède une partie en mousse avec un cookie flottant.
Dans la ligne Joy, le cookie est directement intégré dans la mousse avec un effet de progression. Cette mousse progressive accentue vivement l’effet repulpé de la poitrine ! A presque s’y méprendre, on pourrait croire à des seins refaits !
La forme padding pour un effet waou !
Tandis que la forme push up a tendance à ramener la poitrine vers le centre, la forme padding ramène le volume vers le haut !
Cette formule-ci possède aussi un cookie flottant qui amplifie le décolleté ! Elle augmente le galbe vers le haut sans rapprocher les seins. Un vêtement au décolleté carré ou arrondi mettra joliment en valeur ce repulpage vers le haut.
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COMMENT PORTER LES DERBIES ? À ne pas confondre avec les richelieus (la différence qui réside dans le laçage n’est pas flagrante, on vous l’accorde), les derbies sont une alternative cool et décontractée à la chaussure de ville fermée et lacée.
Après le jean boyfriend, la veste, la chemise ou le gilet d’homme, le succès des derbies ne fait que confirmer la tendance : "je pique les vêtements de mon copain". Résolument urbaines et modernes, les derbies n’en négligent par pour autant le côté élégant et assurent en toutes circonstances un look sage et désuet, du plus bel effet.
Les derbies pour qui ?
Selon Cristina Cordula, la derby va à n’importe qui, à condition de bien savoir la marier à la tenue qui va mettre en valeur sa morphologie. Les silhouettes rondes éviteront donc à tout prix les derbies associées à une jupe ou à une petite robe (la derby étant trop fermée, elle risque d’accentuer l’épaisseur de la jambe nue). Elles privilégieront un beau pantalon de tailleur ou un modèle fluide légèrement bootcut.
Les derbies à talons aèreront également les silhouettes rondes mais seront aussi un bon compromis pour les demoiselles de taille "format réduit" qui risqueraient d’être davantage "tassées" par des chaussures plates. En revanche, les filles grandes et minces peuvent se permettre toutes les folies : leggings, slim, short, robe, carrot pant...
Derbies, tendance casual cool
Hyper confortables et faciles à porter au quotidien, pour aller travailler ou pour une séance safari-shopping, les derbies se marient parfaitement avec un jean slim, un pantalon souple retroussé, une petite jupe à volants ou encore une mini robe surmontée d’un blazer ou d’un gilet. Comme Sienna Miller, on n’hésite pas à dévergonder ses derbies crème avec un haut loose ou un gilet fluide, une blouse ou une tunique.
Derbies, tendance preppy
Comme les preppy icônes de la bande de Blair Waldorf (Gossip Girl pour les non initiées), on mise sur le potentiel preppy infini de la derby : serre-tête chic et sage, socquettes rouge vif ou blanches à bords dentelés, chemisier blanc à col claudine, petite ceinture en cuir marron sur un gilet, jupe à volants marine ou verte, collants plumetis... jusqu’à la petite besace en cuir vieilli ou même, le fameux 2.55.
Derbies, tendance British boyish
À l’instar des ballerines qui véhiculent une image forte de petite fille modèle, les derbies auraient très bien pu s’installer à long terme du côté preppy girl de la mode. C’était sans compter sur Agyness Deyn qui démontre par derbies + socquettes blanches montantes + robe bustier tartan + trilby que la derby sait aussi se faire rocky ou garçon manqué en short en jean + chemise d’homme ou blazer. God bless Agyness !
Shopping express
Qu’elles soient plates, compensées ou à talons, en cuir souple, en toile ou en PVC recyclable, imitation python, vichy, noires, blanches, marron, pailletées, mates, vernies, bicolores ou unies, les derbies n’ont pas fini de vous faire tourner la tête. Morceaux choisis, à tous les prix.
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LE LOL CORE
PEU CONNUE POUR SA PRATIQUE DE L’AUTODÉRISION, LA FASHION SPHÈRE SE DÉCOUVRE UN CERTAIN SENS DE L’HUMOUR. LE NORMCORE EST MORT, VIVE LE LOLCORE !
Né au tréfonds du siècle dernier. Je ne ferai pas l’affront aux bilingues français-acronymes de leur préciser ce que signifie LOL – elles ont sans doute eurêké toutes seules qu’en mode, LOLcore veut dire « rigoler sévère ». « Tu vas donc continuer à t’habiller comme une blague Carambar ? », Hélas pour lui, ce printemps, rester sérieux est « so last year ». Est-ce la faute à 2015 qui essaie de rattraper son entrée ratée avec un humour potache ? A Cara Delevingne qui, à force de grimaces et de T-shirts imprimés pizza, est l’égérie de trois créateurs de mode sur deux ? A Jeremy Scott, le D.A. mi-Andy Warhol, mi-John Waters de Moschino, qui a érigé le kitsch en fashion statement avec ses robes paquets de chips et ses collections dédiées à Bob L’Eponge ou à Barbie ? Ou encore à Karl Lagerfeld, dont chaque défilé est désormais un stand-up couture ?
JE VIS DANS UN BUNKER DE BLAGUES
En tout cas, les gens qui vivront l’année prochaine ont désormais le choix entre deux options : l’ultra-minimalisme (le nanomalisme), chiant comme une partouze amish, et l’hystérie rigolarde des sweats
à slogans ridicool vendus chez H&M, Topshop, Kenzo et Colette, des imprimés Petit Poney ou Mickey, des cheveux couleur Malabar et des bijoux pour Barbie géante. Un look qui fait la joie des « peopLOL » comme Anna Dello Russo, Lily Allen, Rita Ora, Miley Cyrus ou Katy Perry qui, début février, ouvrait le Super Bowl sapée comme un cupcake à l’amiante. En cet embryon d’été 2015,
je suis donc Charlot en version couleur et bonnet à double pompon.
Comme bon nombre de mes concitoyens trentenaires nostalgiques d’une époque qu’ils n’ont pas connue, je vis dans un bunker de blagues pour tenir à distance une réalité qui me donne envie de pleurer. Rien ne doit être sérieux : ni mes fringues, qui n’ont d’autre propos que d’allumer une ampoule entre mes deux oreilles quand je les regarde, ni mon job, ni ma façon de me nourrir de junk food gastro, ni mes hashtags sur les réseaux sociaux. Mon arme contre un avenir dérisoire, c’est la dérision, ce jetlag agréablement cotonneux entre soi et la vraie vie. Si le phénomène LOLcore permettait aux esprits étroits d’avoir le sens de l’humour juste par apposition du regard, cela ne vaudrait-il pas le coût d’une blague-à-porter ? Rions-nous les uns des autres, disait à peu près je ne sais plus qui.
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